I try to share my deep sensations about our BDSM'sessions which are, for us, a kind of Love'sessions where we're so much sharing both ... a delice , for us and for you, I hope ...
My English is perhaps not "à la hauteur" and it's why I write them in French first and use of a translator ...
Do you think that it's good enough ?
For those who could be interested , here is the French version :
Troisième session
Ce samedi , Judith me demande : “Qu’aimerais-tu pour ta BDSM session , Messa ?”
D’abord, je n’ose répondre : d’habitude, c’est elle qui choisit ce qui est bon pour moi …
Puis voyant son air impatient, je lui réponds : « Oh ma Judith, tu sais bien que j’adore le fouet , surtout ton grand fouet en cuir qui m’envelope toute entière ! »
Judith sourit ; j’aime ce sourire quand on parle BDSM : c’est comme si elle était déjà à son plaisir de me voir souffrir pour elle …
« OK ! « répond-t-elle « Mais je te préviens, ce sera dur ! Et pas question de mot de sécurité ! Je serai seule juge de tes limites ! »
Bien que un peu inquiète , j’aquiesce car je suis persuadée que Judith sait bien ce qui est bon pour moi …
En fin d’après-midi, je m’habille , juste un mini string et une cape rouge pour rejoindre notre grange …
A l’intérieur , Judith m’attend : elle porte sa tenue en cuir noir avec ses grandes bottes , noires également : elle parait cruelle …
Mais c’est ce que j’attends : soit cruelle ma Judith, je veux souffrir comme jamais, pour toi, pour ton plaisir, pour ton amour !
Elle me débarasse de ma cape mais me laisse mon mini string : je frissonne un peu lorsqu’elle m’attache les menottes aux poignets , mais c’est bon !
Puis, elle accroche les menottes à la chaine pendue au plafond et reliée à un petit treuil qu’elle peut actionner avec une commande tenue en mains …
Le treuil fonctionne et je sens mes bras s’élever au-dessus de moi jusqu’à ce que je sois pratiquement suspendue …
Alors Judith décroche son fouet du ratelier et vient à moi …
Avec le manche du fouet, elle suit les contours de mon corps, totalement soumis à ses désirs : la joue, les seins, le ventre et le pubis ; elle descend vers mon sexe qu’elle entrouve légèrement …
Elle sourit et me dit : « Mmmmm ! Messa, tu es déjà mouillée ? Je pense que bientôt, ce sera une fontaine qui sortira d’ici ! »
Et puis elle s’écarte en riant , prenant la bonne distance pour me fouetter …
Elle s’est mise d’abord derrière moi et je ne peux pas voir quand la lanière arrivera …
Un sifflement soudain et je sens la piqure du cracker sur une fesse : elle a décidé de jouer à la guêpe avec moi ! Les piqures se succèdent,dix, quinze, vingt …
Et puis soudain, la lanière envelope tout mon corps et le cracker vient s’abattre avec force sur mon sein gauche … Je gémis … Mais je n’ai pas le temps de m’appitoyer, c’est maintenant une avalanche de lacérations suivies des piqures qui prend possession de moi !
C’est dur, je crie, je pleure , mais c’est bon !
Judith sait bien quel degré de souffrance je dois subir pour elle …
Elle arrête … Elle s’approche … Sa main gantée de cuir me caresse , suit les marques laissées sur ma tendre peau …
Le manche du fouet s’introduit soudain entre mes lèvres intimes et commence à caresser mon clitoris …
Je gémis de plaisir, la brulure du fouet occupe encore toutes mes sensations mais , petit à petit, le plaisir de l’orgasme se dévoile sous l’insistance du manche du fouet qui maintenant pénètre doucement mon vagin , s’insinuant comme le ferait un sexe d’homme qui voudrait prendre son plaisir en moi !
Judith n’est pas un homme, son fouet l’est !
Je découvre çà , il claque, soumet, prend et laisse sa victime dans l’extase : et c’est parce que Judith sait çà qu’elle sait ce qui est bon pour moi !
Puis, je demande encore de la flagellation : elle arrive , me brule, m’incendie , m’emporte vers des sensations que peu de femmes connaissent !
Mais Judith les connait et sait si bien me les transmettre …
Après peut-être une centaine de ces caresse du fouet, Judith me laisse seule, ayant placé devant moi un miroir qui me permet de contempler « l’Amour » que j’ai pour elle au travers de ces multiples marques qui zèbrent mon corps …
Quand elle revient, elle me détache, me couche sur les peaux de bêtes devant la cheminée qui me réchauffe et me passe sur le corps une pommade apaisante …
Puis, toutes les deux perdues dans notre amour, nous jouissons de nos corps nus offerts l’une à l’autre et nous atteignons cette impression que l’orgasme apporte : « la petite mort » !
Judith est folle, moi aussi … et alors ?
Judith sait si bien ce qui est bon …….. pour nous ! …